Plaque mémoire baronne Léonie de Waha
Toegevoegd op 21 maart 2011 door Dirk-Everts
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Kunstenaar:
niet gekend
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Plaatsbeschrijving:
Liège - Op de gevel van het Lycée Léonie de Waha, Boulevard d'Avroy
Liège - Op de gevel van het Lycée Léonie de Waha, Boulevard d'Avroy
Leonie de Waha (Luik, 31/03/1836-Luik, 08/07/1926) werd een bekende pedagoge, filantrope en feministe, oprichter en voorzitter van de Union des Femmes de Wallonie.
Née Léonie Marie Laurence de Chestret de Haneffe, le 31 mars 1836 à Liège et morte 8 juillet 1926 à Liège, elle est la fille du baron Hyacinthe de Chestret de Haneffe (1797-1881) et de Amanda-Laurence de Sélys-Longchamps (1809-1837), soeur aînée de Edmond de Sélys-Longchamps, scientifique et personnalité politique du parti libéral. Elle perd sa mère à l'âge de 2 ans.
Elle épouse en août 1863 le baron Victor de Waha de Baillonville, fils de Joseph-Louis de Waha, docteur en droit de l'université de Liège.
Léonie de Waha perd en 1866 sa fille unique Louise-Amanda, et en août 1867 son mari Victor de Waha.
Elle se proclama d'opinion libérale, démocrate, tolérante et croyante, et met en place des bibliothèques à Chênée et à Esneux, fait construire des maisons ouvrières... Le bourgmestre de Liège, Jules d'Andrimont, lui demande de fonder un lycée pour jeunes filles et crée rue Hazinelle un Institut supérieur de demoiselles (1868), que la Ville de Liège va gérer à partir de 1878, devenu ensuite le Lycée de Waha (installé aujourd'hui sur le boulevard d'Avroy, dans un bâtiment de l'architecte Jean Moutschen).
À l'Institut supérieur de demoiselles, l'enseignement de chaque culte est donné par un prêtre de cette religion, avec la possibilité d'en être dispensé. L'évêque de Liège contestera cette démarche pédagogique sous prétexte de ne pas admettre qu'un prêtre catholique, un pasteur voire un rabbin travaillent sous le même toit. Il ira jusqu'à excommunier les personnes qui s'accordent avec le fonctionnement de ce lycée. Son successeur lèvera l'excommunication.
Léonie de Waha encourageait les "Djônes Auteûrs Walons". Elle a fondé l' Union des Femmes de Wallonie afin d'encourager la prise de conscience des enjeux politiques chez les Wallonnes. Léonie de Waha participa aux premiers Congrès wallons, notamment celui de 1913 qui adopta le principe d'une assemblée représentative officieuse du peuple wallon ainsi qu'un drapeau national avec la participation d'une majorité de députés et de sénateurs wallons.
Bron: Wikipedia
Née Léonie Marie Laurence de Chestret de Haneffe, le 31 mars 1836 à Liège et morte 8 juillet 1926 à Liège, elle est la fille du baron Hyacinthe de Chestret de Haneffe (1797-1881) et de Amanda-Laurence de Sélys-Longchamps (1809-1837), soeur aînée de Edmond de Sélys-Longchamps, scientifique et personnalité politique du parti libéral. Elle perd sa mère à l'âge de 2 ans.
Elle épouse en août 1863 le baron Victor de Waha de Baillonville, fils de Joseph-Louis de Waha, docteur en droit de l'université de Liège.
Léonie de Waha perd en 1866 sa fille unique Louise-Amanda, et en août 1867 son mari Victor de Waha.
Elle se proclama d'opinion libérale, démocrate, tolérante et croyante, et met en place des bibliothèques à Chênée et à Esneux, fait construire des maisons ouvrières... Le bourgmestre de Liège, Jules d'Andrimont, lui demande de fonder un lycée pour jeunes filles et crée rue Hazinelle un Institut supérieur de demoiselles (1868), que la Ville de Liège va gérer à partir de 1878, devenu ensuite le Lycée de Waha (installé aujourd'hui sur le boulevard d'Avroy, dans un bâtiment de l'architecte Jean Moutschen).
À l'Institut supérieur de demoiselles, l'enseignement de chaque culte est donné par un prêtre de cette religion, avec la possibilité d'en être dispensé. L'évêque de Liège contestera cette démarche pédagogique sous prétexte de ne pas admettre qu'un prêtre catholique, un pasteur voire un rabbin travaillent sous le même toit. Il ira jusqu'à excommunier les personnes qui s'accordent avec le fonctionnement de ce lycée. Son successeur lèvera l'excommunication.
Léonie de Waha encourageait les "Djônes Auteûrs Walons". Elle a fondé l' Union des Femmes de Wallonie afin d'encourager la prise de conscience des enjeux politiques chez les Wallonnes. Léonie de Waha participa aux premiers Congrès wallons, notamment celui de 1913 qui adopta le principe d'une assemblée représentative officieuse du peuple wallon ainsi qu'un drapeau national avec la participation d'une majorité de députés et de sénateurs wallons.
Bron: Wikipedia