Sint-joris en de draak
Toegevoegd op 14 mei 2011 door monlouis
Afbeelding toegevoegd door monlouis
Kunstenaar:
niet gekend
niet gekend
Opschrift:
C'est le Doudou
Saint-Georges et le dragon
C'est le Doudou
Saint-Georges et le dragon
Plaatsbeschrijving:
Mons - Grand'Place tegen de gevel van het stadhuis
Mons - Grand'Place tegen de gevel van het stadhuis
Aujourd'hui reconnu au titre de Patrimoine oral et immatériel de l'Humanité par l'UNESCO, le Doudou est incontestablement l'événement de l'année pour les Montoises et les Montois, un événement exceptionnel à plus d'un titre. Pourtant, paradoxalement, il ne subsistait aucune trace visible de notre Ducasse là où se déroule le Lumeçon. C'est la raison pour laquelle le Bourgmestre en titre Elio Di Rupo a suggéré d'y installer une œuvre d'art rappelant ce Combat unique au monde aux visiteurs et nombreux touristes, ainsi qu'aux Montois bien entendu.
L'idée est lancée. Encore fallait-il la concrétiser. Car même si budgétairement, la Ville fut largement aidée par les fonds européens du FEDER et la Région wallonne (à raison de 90% du coût total qui s'élève à 175.000 €), le plus dur restait à faire. Car l'intégration d'une œuvre, sur la façade d'un Hôtel de Ville classé et datant du XVe siècle, n'est guère chose aisée.
Le choix de l'artiste s'est porté assez naturellement sur l'artiste français Gérard Garouste. L'homme n'est pas un inconnu à Mons, puisqu'il réalisa en 2000 la frise qui orne magnifiquement la salle des Mariages de l'Hôtel de Ville, frise qui symbolise les principaux épisodes de la Ducasse rituelle.
" Le génie de Gérard Garouste a été de trouver un emplacement qui se trouve sur la façade de l'Hôtel de Ville sans vraiment y être accolé ", précise Elio Di Rupo. " Cela nous a permis d'éviter des procédures excessivement lourdes quant il s'agit de toucher à des bâtiments classés ". Gérard Garouste a proposé de créer des montants en bronze qui serviraient de départ aux rampes de l'escalier situé devant la salle des Sacquiaux. Aussi, les rampes elles-mêmes ont été modifiées pour faire partie intégrante de l'œuvre. L'encadrement de la porte d'entrée a été également rénové.
" La présence forte du singe a influencé mon travail ", a expliqué Gérard Garouste lors de l'inauguration de l'œuvre, le 23 avril 2006. " Je travaillais très tôt sur la Grand-Place et je voyais ces gens qui venaient caresser la tête du singe. Peut-être que ce que j'ai fait prendra un sens mythique dans un ou deux siècles… Quoi qu'il en soit, c'était un formidable défi à relever que de répondre à cette commande spécifique ".
(bron : mons.be)
L'idée est lancée. Encore fallait-il la concrétiser. Car même si budgétairement, la Ville fut largement aidée par les fonds européens du FEDER et la Région wallonne (à raison de 90% du coût total qui s'élève à 175.000 €), le plus dur restait à faire. Car l'intégration d'une œuvre, sur la façade d'un Hôtel de Ville classé et datant du XVe siècle, n'est guère chose aisée.
Le choix de l'artiste s'est porté assez naturellement sur l'artiste français Gérard Garouste. L'homme n'est pas un inconnu à Mons, puisqu'il réalisa en 2000 la frise qui orne magnifiquement la salle des Mariages de l'Hôtel de Ville, frise qui symbolise les principaux épisodes de la Ducasse rituelle.
" Le génie de Gérard Garouste a été de trouver un emplacement qui se trouve sur la façade de l'Hôtel de Ville sans vraiment y être accolé ", précise Elio Di Rupo. " Cela nous a permis d'éviter des procédures excessivement lourdes quant il s'agit de toucher à des bâtiments classés ". Gérard Garouste a proposé de créer des montants en bronze qui serviraient de départ aux rampes de l'escalier situé devant la salle des Sacquiaux. Aussi, les rampes elles-mêmes ont été modifiées pour faire partie intégrante de l'œuvre. L'encadrement de la porte d'entrée a été également rénové.
" La présence forte du singe a influencé mon travail ", a expliqué Gérard Garouste lors de l'inauguration de l'œuvre, le 23 avril 2006. " Je travaillais très tôt sur la Grand-Place et je voyais ces gens qui venaient caresser la tête du singe. Peut-être que ce que j'ai fait prendra un sens mythique dans un ou deux siècles… Quoi qu'il en soit, c'était un formidable défi à relever que de répondre à cette commande spécifique ".
(bron : mons.be)